Ellen Johnson-Sirleaf et Joyce Banda, les deux seules femmes chefs d’État d’Afrique, n’ont pas fait le déplacement du Sommet de l’Élysée, les 6 et 7 décembre à Paris. Pour des raisons bien disctinctes.
Pour son rayonnement culturel, Paris peut compter sur un large réseau d’établissements scolaires à l’étranger. Les lycées français sauront-ils rivaliser avec les cursus anglo-saxons ?
Le sommet de l’Élysée pour la paix et la sécurité s’est achevé samedi à Paris. À l’issue de cette 26e rencontre franco-africaine, marquée par la disparition de l’ancien président sud-africain Nelson Mandela et la crise centrafricaine, la France et une quarantaine de chefs d’État et de gouvernement du continent se sont mis d’accord sur la nécessité de mettre rapidement en place, d’ici 2015, une force africaine de réaction rapide.
Invitées par Valérie Trierweiler, la compagne de François Holande, les épouses des chefs d’État africains présents au sommet de l’Élysée, à Paris, se sont retrouvées, le 6 décembre, au musée d’Orsay. Objectif : lancer un appel à la fin de l’impunité dans les affaires de violences faites aux femmes sur le continent.
Les travaux du sommet de l’Élysée pour la paix et la sécurité en Afrique ont repris à huis clos samedi matin à Paris, avec deux conférences consacrées aux questions économiques et au changement climatique.
L’ouverture du sommet de l’Élysée pour la paix et la sécurité, vendredi, à Paris, a été marqué par le décès de Nelson Mandela, la veille, et l’intervention française en Centrafrique. Lors de cette première journée de travail, les participants ont insisté sur la nécessité pour les pays africains d’assurer eux-mêmes leur sécurité.
L’Élysée comme les ministères de l’Intérieur et de la Défense abritent des conseillers spécialistes de l’Afrique. Mais fini le temps des éminences grises et des cabinets de l’ombre. Du moins en théorie…
De passage à Paris à l’occasion du sommet de l’Élysée qui s’y déroule du 6 au 7 décembre, le ministre libyen des Affaires étrangères, Mohamed Abdelaziz, revient sur la situation sécuritaire dans son pays. Et sur ce qu’il attend concrètement de la communauté internationale.
Le sommet qui, les 6 et 7 décembre, réunit à Paris les chefs d’État africains a pour thème la paix et la sécurité. L’occasion pour la France, qui a perdu de son influence, et ses interlocuteurs africains d’élaborer une nouvelle relation ?