![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/10/04/38874hr_-e1570383229585-660x440-1570451004.jpg)
![José Condunga Pacheco, ministre des Affaires étrangères du Mozambique, et le conseiller fédéral suisse Ignazio Cassis, après la signature d’un accord de coopération internationale entre leurs deux pays, le 28 février 2018 à Berne. © EPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1500,height=750,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/10/04/38874hr_-e1570383229585.jpg)
Dossier
Afrique-Suisse : une relation tout sauf neutre
Si la Confédération helvétique continue de s’impliquer sur le continent, c’est aussi pour des raisons économiques et sécuritaires, comme le prouve sa stratégie de coopération internationale, développée pour 2021-2024.