Depuis deux ans, le pays met en œuvre une « nouvelle logique », plus protectionniste. Karim Djoudi donne rarement d’interview, mais le grand argentier de Bouteflika a accepté d’exposer à Jeune Afrique sa vision de l’économie tout en défendant le bilan des mesures prises, notamment vis-à-vis des investisseurs étrangers.
Des plans quadriennaux à celui dédié au soutien de la croissance, les choix ont été variés à travers les époques en matière de politique de développement en Algérie.