![Des fleurs comblent l’impact des balles au Petit Cambodge, l’un des lieux parisiens touchés vendredi 13 novembre. © Peter Dejong/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=300,height=200,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2015/11/16/cambodge600.jpg)
![Des fleurs et des bougies devant le bar Le Carillon, © Frank Augstein/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1500,height=750,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2015/11/20/sipa_ap21824688_000061.jpg)
Dossier
Attentats de Paris : les Africains du 13 novembre
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, qui aimaient la vie, sortir, s’amuser, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française.