![Le président de la BAD, Akinwumi Adesina (g.), est venu féliciter le président fraîchement élu du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye (d.), le 3 mai 2024. © X Akinwumi A. Adesina](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=300,height=200,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/07/11/jad20240711-eco-bad-diomayefaye-adesina.jpg)
![Le siège de la Banque africaine de développement (BAD) situé dans la commune du Plateau, à Abidjan. Le 1er novembre 2019. © ISSOUF SANOGO/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1500,height=750,fit=cover,gravity=0.3503x0.4968/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/07/12/jad20240712-eco-dossier-bad.jpg)
Dossier
BAD : l’année de tous les enjeux
À moins d’un an de l’élection du nouveau président ou de la nouvelle présidente qui remplacera le Nigérian Akinwumi Adesina à la tête de la Banque africaine de développement (BAD), Jeune Afrique décrypte et analyse la feuille de route de l’institution pour les quatre années à venir. Stratégies, tractations, portraits, coulisses… Zoom sur les grands défis de ce futur rendez-vous.