Chaque « Very Important Person » ou VIP entretient un ou plusieurs « chargés de mission », « ropéros » ou tout simplement « accompagnateurs ». Une nouvelle catégorie d’assistants personnels apparaît désormais autour des riches.
Petits plaisirs et gros caprices, les fortunes africaines ne font pas exception. La recherche du luxe et de l’excellence n’a pas de limite. Voyage au cœur d’un club très sélect.
Entre fitness, parties de golf, fréquentation assidue des salons de beauté, sans renier quelques coups de lifting ou de liposuccion, les riches tunisiens semblent vouer un culte quasi religieux à leurs corps.
Depuis quelques années, le développement économique et la disparition du terrorisme islamiste aidant, on voit une émerger une coterie de gens aisés qui n’éprouvent aucune gêne à afficher leur richesse.
Depuis peu, les opérations anticorruption et arrestations conséquentes incitent une certaine élite à la retenue dans l’étalage de richesses par peur de poursuites judiciaires.
À dix minutes du Cap, Canal Walk se dresse comme un lieu incontournable du shopping pour les stars et personnalités qui composent la classe des « Black Diamonds ».
Sur le continent ou ailleurs, les riches ont leur terrain de prédilection pour sortir, se reposer, et une préférence pour des moyens de transport pas très ordinaires.
Le « buffet ndogou » du Radisson Blu prouve que la dure journée du ramadan n’est pas récompensée de la même manière du côté de Dakar à l’heure de la rupture du jeûne.
Meriem Bensalah et Salwa Akhannouch sont deux entrepreneuses marocaines qui ont su dépasser leurs statuts d’héritères pour s’imposer dans le dur monde des affaires.
Autorités politiques, hommes d’affaires et hauts fonctionnaires cohabitent dans cette zone résidentielle qui se veut le Berverly Hills ou le Saint-Tropez d’Afrique.