Face à Boko Haram, les Camerounais resserrent les rangs. Pendant qu’une nouvelle génération émerge, prête à assurer la relève et à assumer son rôle dans le développement du pays.
Les commandos d’égorgeurs jihadistes qui ont fondu sur ce gros village frontalier de l’Extrême-Nord du Cameroun, le 17 avril peu après minuit, avaient un double objectif.
Unis pour le Cameroun, un collectif apolitique, a rassemblé plus de 20 000 personnes contre Boko Haram. Entraînant finalement dans leur mouvement le pouvoir et l’opposition
Ils survivent aux défaites électorales, aux frondes internes, à l’usure du temps. Bienvenue au pays où les chefs de l’opposition n’ont pas la moindre intention de laisser leur place aux jeunes.
Chute des cours du pétrole, effort de guerre, climat des affaires pesant… Le Cameroun fait face à de nombreux obstacles. Et le port de Kribi, censé dynamiser la croissance, est loin d’être terminé.
Mobiliser des capitaines d’industrie pour doper les exportations ? C’était l’idée du Gicam, le principal syndicat patronal du Cameroun. Elle tarde hélas à se concrétiser.
Chaque jour, les jeunes camerounais se ruent dans les enseignes de restauration rapide et bon marché. Au menu : burgers, kebabs, sandwichs… Mais aussi de plus en plus de plats traditionnels.
Après cinq ans de travaux, le Musée national a rouvert en janvier, à Yaoundé. De l’âge de pierre à l’histoire contemporaine, il offre une large palette d’oeuvres à admirer. Et exalte l’unité du pays.