Le chef de l’État, Faure Gnassingbé, s’appuie sur le Plan national de développement (2018-2022) pour transformer le pays en profondeur, multiplier les projets et attirer les investisseurs.
Le Togo est désormais dans une conjoncture favorable. Après les législatives de 2018, boycottées par l’opposition réunie au sein de la C14, l’accalmie est de retour. Même si nombre de Togolais et d’observateurs ont les yeux rivés sur la présidentielle de l’an prochain.
Le président togolais, Faure Gnassingbé, mise sur le Plan national de développement 2018-2022 pour accélérer les réformes structurelles et conduire le pays vers l’émergence. Cela sera-t-il suffisant ?
Le Plan national de développement (PND) 2018-2022, présenté en mars par l’exécutif, est fondé sur les résultats de la Stratégie de croissance accélérée et de promotion de l’emploi (Scape) menée par le gouvernement de 2013 à 2017.
Sani Yaya, le ministre togolais de l’Économie et des Finances, explique comment le gouvernement est parvenu à assainir les finances du pays et revient sur les enjeux du Plan national de développement (PND) 2018-2022.
Absente du Parlement pour avoir boycotté les législatives togolaises, la coalition C14 se retrouve en bien mauvaise posture dans la perspective des locales de juin.
Vice-président de l’Assemblée nationale, André Johnson explique pourquoi l’Union des forces de changement (UFC), son parti, a choisi de voter en faveur de la réforme constitutionnelle portée par Faure Gnassingbé.
Au Togo, une cellule « climat des affaires » présente chaque jour au chef de l’État un tableau de bord des avancées des réformes. Avec un code couleur simple et sans ambiguïté, du rouge au vert.
Pour le ministre togolais des Affaires étrangères, Robert Dussey, plusieurs défis ont été relevés depuis les négociations en vue d’un nouvel accord de partenariat entre l’Union européenne et le groupe des pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP).