Pour le professeur marocain de sciences politiques, Mohammed Mouaqit, il n’y a pas de contradiction insoluble entre une supposée loi religieuse et la recherche d’une modernité islamo-compatible.
Arrivée au pouvoir des islamistes en Tunisie, au Maroc et en Égypte ; présence djihadiste dans le nord du Mali ; la secte Boko Haram au Nigeria… La loi islamique est devenue un slogan pour les uns, une crainte pour les autres.