À neuf mois de l’élection présidentielle camerounaise, le pays de Paul Biya hésite toujours entre dynamisme et somnolence. Plongée au cœur d’une société qui peine à libérer ses énergies.
Doté d’un remarquable potentiel humain et naturel, le Cameroun fait pourtant du surplace en matière économique et sociale. En cause, le manque d’infrastructures et des élites adeptes du statu quo.
Entre chantiers lucratifs et protection de la nature, les impératifs économiques l’ont emporté au Cameroun. Les Pygmées en sont les premières victimes.