Frappé de plein fouet par la chute des cours du baril, le pays doit gérer l’urgence en réduisant drastiquement ses dépenses, mais aussi chercher des solutions à long terme.
Vingt ans après la guerre civile qui l’a déchiré, le pays s’est reconstruit, ses communautés se sont rapprochées. Mais toutes les plaies ne semblent pas guéries. Comme le montre la crise qui sévit à nouveau dans le Pool.
Après plus de vingt ans dans l’opposition, Clément Mouamba, banquier au long cours, a été nommé à la tête du gouvernement en avril 2016, au lendemain de la présidentielle et au plus fort de la crise financière.
Avec la chute des cours mondiaux du baril amorcée en 2014 et une production pétrolière également en baisse au niveau national, il ne faut pas attendre de miracle au Congo-Brazzaville.
Sans surprise, le Parti congolais du travail (PCT) a remporté la majorité absolue aux législatives de juillet. À l’instar de ses détracteurs, qui entendent bien tenir leur rôle au sein de l’hémicycle, il devra tirer quelques leçons du scrutin.
Jeune Afrique a posé trois questions à Pascal Tsaty Mabiala, premier secrétaire général de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (Upads), qui n’a obtenu que 8 sièges lors des dernières élections législatives.
Jadis cantonnée aux sociétés publiques et à leurs expatriés, la présence de la Chine au Congo s’est renforcée et, surtout, diversifiée. Ses PME et sa diaspora font désormais partie intégrante du paysage.
Poète et producteur de l’émission Cultura, diffusée depuis quinze ans sur Télé Congo, Sauve-Gérard Ngoma a l’art de partager son amour et sa connaissance de la littérature africaine contemporaine.
C’est fin 2015 que Xia Huang a pris ses fonctions d’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de Chine au Congo. Disert, ouvert et accueillant, le quinquagénaire a un riche parcours. Interview avec ce parfait francophone déjà passé par le Gabon, le Niger et le Sénégal.
Aménagements d’espaces publics, nouvelles enseignes, surtout dans les loisirs. Le centre de la capitale, Brazzaville, est de plus en plus accueillant. Trop peut-être, au vu du nombre d’hôtels haut de gamme.
Pour les fans de détente et d’afterworks, qui plus est s’ils sont un tantinet gourmets et sensibles au cadre offert autour d’une table, la capitale congolaise réserve deux bonnes surprises.