En plein redécollage, les industriels sont confrontés depuis janvier aux nombreux délestages. Malgré tout, les unités de transformation des matières premières locales se multiplient. Vont-elles réussir à tenir la distance ?
Accusés de ne pas financer suffisamment les projets industriels, les banquiers invoquent souvent les risques politiques. Les filiales de grands groupes et les banques locales se disent pourtant prêtes à accompagner les initiatives.
Les filières agricoles et les activités industrielles qui leur sont liées sont l’un des principaux moteurs de croissance du pays. D’autant plus prometteur qu’il est aujourd’hui le plus dynamique en matière de diversification.
Noix de cajou, produits de la mer, coton, bois : la montée en puissance des industries de transformation tient pour beaucoup à la personnalité d’entrepreneurs pugnaces.