L’école française AgroParisTech propose un cycle Eau pour tous, destiné aux cadres des pays en développement. Un partenariat est en discussion avec l’institut 2IE, à Ouagadougou.
À Camwater, société publique, la charge de trouver des fonds. À la Camerounaise des eaux, privée, celle de réaliser les projets. L’objectif de cette alliance ? Porter à 60 % le taux d’accès à l’eau potable.
En finançant le secteur depuis 1998, la France, à travers l’Agence française de développement, reste le premier bailleur de fonds de Tunis. Les entreprises hexagonales, quant à elles, piétinent.
Pour cet expert international, les budgets consacrés à l’assainissement doivent être accrus. Il s’agit notamment d’accompagner l’urbanisation galopante du continent.
En termes d’installations sanitaires, les investissements nécessaires pour atteindre les Objectifs du millénaire pour le développement sont estimés à 6 milliards de dollars. Une préoccupation hélas un peu tardive.