L’école parisienne est présente dans douze pays africains à travers des cercles de réflexion et d’échange. Ceux-ci rassemblent des cadres soucieux d’améliorer leurs capacités de management et leur compétitivité.
C’est un gage de mobilité et de meilleure lisibilité des diplômes à l’international. Le système licence-master-doctorat a fini par s’imposer dans les universités marocaines, tunisiennes et algériennes.
Les indicateurs de l’emploi sont revus à la baisse dans les pays du Maghreb chamboulés par les révolutions arabes. Alors que la croissance marque le pas, les manageurs tirent néanmoins leur épingle du jeu.
Think-tank basé à Ouagadougou, l’Institut d’Afrique confrontera les insuffisances des filières existantes aux attentes des employeurs. Paul Giniès en est l’un des initiateurs.
L’un, en partie payant, se veut « global » et compte 2 millions d’inscrits en Afrique. L’autre, totalement gratuit, revendique une spécificité continentale et a conquis 250 000 membres. Double-clic sur Viadeo et LinkedAfrica.
Loyer modéré, flexibilité et émulation : les espaces de travail partagés font leur chemin en Afrique. Prisés des professionnels des nouvelles technologies, ces lieux agissent comme des catalyseurs d’innovation.