Grâce à des organismes comme l’Agence universitaire de la francophonie, l’Université virtuelle africaine ou l’Université virtuelle de Tunis, la formation à distance connaît un succès croissant à travers le continent.
C’est un gage de mobilité et de meilleure lisibilité des diplômes à l’international. Le système licence-master-doctorat a fini par s’imposer dans les universités marocaines, tunisiennes et algériennes.
Boualem Kadi, Français d’origine algérienne, a été choisi par Michael Page Africa pour diriger son bureau de Casablanca au Maroc. Un poste qu’il occupe depuis juillet dernier.
Loyer modéré, flexibilité et émulation : les espaces de travail partagés font leur chemin en Afrique. Prisés des professionnels des nouvelles technologies, ces lieux agissent comme des catalyseurs d’innovation.
L’un, en partie payant, se veut « global » et compte 2 millions d’inscrits en Afrique. L’autre, totalement gratuit, revendique une spécificité continentale et a conquis 250 000 membres. Double-clic sur Viadeo et LinkedAfrica.
Think-tank basé à Ouagadougou, l’Institut d’Afrique confrontera les insuffisances des filières existantes aux attentes des employeurs. Interview de son président, Paul Giniès.
Les indicateurs de l’emploi sont revus à la baisse dans les pays du Maghreb chamboulés par les révolutions arabes. Alors que la croissance marque le pas, les manageurs tirent néanmoins leur épingle du jeu.
Alors que l’accès aux pays de l’Union européenne se durcit, la Tunisie est devenue une option prisée par les élèves subsahariens. Une aubaine pour les universités privées.
L’école parisienne est présente dans douze pays africains à travers des cercles de réflexion et d’échange. Ceux-ci rassemblent des cadres soucieux d’améliorer leurs capacités de management et leur compétitivité.