![Brice Clotaire Oligui Nguema, le 8 février 2024, lors de la mise en service de la mine de manganèse Okouma, nouveau site exploité par la Comilog (filiale du groupe français Eramet), près de Moanda, dont il a rappelé que « la richesse du sous-sol doit se traduire en progrès palpable pour tous ». © Présidence de la République du Gabon](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=300,height=200,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/06/12/jad20240612-gfgabon-edito-reveil.jpg)
![Affiches de campagne déchirées de l’ex-président gabonais Ali Bongo Ondimba, à Libreville, le 7 septembre 2023. © AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1500,height=750,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2024/07/17/jad20240717-gfgabon-cover.jpg)
Dossier
Gabon, année zéro
Dix mois après le coup d’État, le chronogramme de la transition est sur les rails. Il doit aboutir à l’adoption d’une nouvelle Constitution d’ici à la fin de l’année, puis à la présidentielle, prévue en août 2025. En attendant, que donnent les réformes engagées par Brice Oligui Nguema ? Et qu’en pensent les Gabonais ?