Après deux années de chute de la demande, Alger, Le Caire, Tripoli et désormais Tunis entendent développer leur potentiel et exporter vers l’Europe et l’Asie. Au risque de se concurrencer.
En matière de pétrole et de gaz, l’Afrique est un espace sous-exploité qui, plus que jamais, a un rôle à jouer sur la scène mondiale. Tous les acteurs internationaux, et nationaux, lorgnent les gisements encore à mettre au jour.
Le nouveau patron du groupe algérien s’emploie depuis huit mois à faire oublier les affaires qui ont ébranlé l’ancienne direction. La remise à niveau de l’outil de production est son autre ambition.
Les compagnies pétrolières embauchent de plus en plus d’Africains à des postes d’ingénieurs ou de cadres dirigeants. Une évolution guidée par des contraintes réglementaires, sociales et financières.