L’ancien directeur de la Pharmacie et du Médicament et du Laboratoire national de contrôle des médicaments est désormais conseiller auprès de l’OMS, à Genève.
Le défi des laboratoires tunisiens est de diversifier leur production et d’augmenter leurs parts de marché, dans le pays et à l’étranger. L’État, lui, doit faciliter la diffusion des génériques et définir un système de révision des prix de vente.
Le PDG de la Siphat, président de la Chambre nationale de l’industrie pharmaceutique (Cnip), revient sur les particularités de son entreprise et sur les enjeux stratégiques du secteur.
L’industrie pharmaceutique tunisienne n’a pas encore vingt ans. Elle a pourtant déjà fait ses preuves et bénéficie d’une image de qualité. Face à la concurrence internationale et aux défis technologiques, elle doit désormais passer à un palier supérieur.