La survie des laboratoires est conditionnée, au niveau mondial, par leur capacité de recherche et développement. Et pour la financer, rien de tel que les partenariats.
Si le marché local s’est considérablement développé, les laboratoires butent toujours sur son exiguïté. Ils augmentent leurs ventes à l’étranger, avec un certain succès.
Moins cher que son original, le médicament générique est tout bénéfice pour le patient et la Caisse nationale d’assurance maladie. De leur côté, les pharmaciens sont moins enthousiastes.
La Tunisie est l’un des rares pays du continent à s’être doté d’une industrie pharmaceutique performante, et aussi rapidement. Ses laboratoires sont-ils prêts à aborder le virage de l’innovation et à passer à la vitesse supérieure ?