Un an après son élection et à moins de deux mois du coup d’envoi de la Coupe du monde de football, le président sud-africain fait face à de nombreuses difficultés : tensions raciales, grogne sociale, coalition au pouvoir divisée… Enquête sur un homme fragilisé.
Le patron du foot mondial – grand manitou de l’organisation de la Coupe du monde, qui se tiendra du 11 juin au 11 juillet en Afrique du Sud – croit au succès de l’événement planétaire. Et fustige les pessimistes.