Du Maroc à la Côte d’Ivoire en passant par la Tunisie et le Sénégal, quatre métropoles rivalisent d’ingéniosité pour séduire les investisseurs du secteur.
Du Maroc à la Côte d’Ivoire en passant par la Tunisie et le Sénégal, quatre métropoles rivalisent d’ingéniosité pour séduire les investisseurs du secteur.
Dans la compétition que se livrent les métropoles francophones africaines, Casablanca s’appuie sur les atouts du Maroc : une population importante, mais aussi des liens économiques forts avec les pays d’Afrique de l’Ouest.
Tunis se distingue par l’excellence de sa formation et par son Startup Act, voté à la fin de 2018, qui offre aux jeunes pousses technologiques un environnement législatif unique.
« Un marché restreint, compétitif, un excellent laboratoire pour lancer une idée ! » C’est ainsi que l’entrepreneur Omar Cissé évalue la position de Dakar en matière d’attractivité pour les entreprises de la tech.
Le Rwanda a beau s’enorgueillir d’accueillir sur son sol depuis octobre l’entreprise Mara Phones, son désir de devenir le hub panafricain de la tech peine à se concrétiser.
Karim Koundi, responsable du pôle télécoms, médias et technologie du cabinet d’audit et de conseil Deloitte, passe en revue les défis des entreprises de la tech africaine.
MTN, le géant sud-africain mise en priorité sur la banque mobile et le streaming pour diversifier ses revenus. Objectif : passer du statut d’opérateur à celui de distributeur de services.