Crise économique, réformes engagées, relations avec le Parlement… Bilan, à mi-parcours, de l’action du gouvernement de coalition entré en fonction en 2007 et dirigé par Abbas El Fassi, leader de l’Istiqlal.
La politique des grands chantiers suit son cours. Elle permet à l’économie de s’ancrer dans le long terme, à l’abri des aléas de la conjoncture mondiale.
Assurance maladie, lutte contre la mortalité maternelle ou l’absentéisme scolaire… Le pays se mobilise au chevet des plus défavorisés. Mais il est encore loin des standards internationaux.
Lorsqu’il était monté sur le trône, en juillet 1999, on avait assuré avec une malveillance sournoise que Mohammed VI « n’aimait pas le job ». Depuis, chacun a pu constater à loisir que le job en question, il l’exerce sans embarras ni partage.