Les 50 personnalités qui font l’Afrique numérique en 2021
Pour la première fois, JA, qui la suit depuis ses débuts, propose un palmarès des 50 personnalités qui incarnent le mieux l’effervescente tech africaine.
Encore accélérée à la faveur de la pandémie, la révolution technologique en marche sur le continent réunit un écosystème de plus en plus riche. Pour la première fois, JA, qui la suit depuis ses débuts, propose un palmarès des 50 personnalités qui incarnent le mieux cette effervescence.
Le milliardaire zimbabwéen, qui a levé plus d’un milliard de dollars pour assurer l’essor de son groupe, figure en première position du classement exclusif Afrique digitale réalisé par JA.
Ce Nigérian de 36 ans bardé de diplômes a fait de sa start-up la troisième licorne du secteur financier africain. Son idée : rendre tous les systèmes de paiements en ligne interopérables.
Le dirigeant de Smart Africa, qui fédère 35 États, prône une vision de la transformation technologique du continent réunissant politiques, régulateurs, opérateurs télécoms et acteurs d’internet, Gafam compris.
Recruté en 2016 par la firme de Mark Zuckerberg, l’ingénieur mauritanien est l’artisan de la nouvelle approche africaine du géant américain. Grâce à son projet de câble 2Africa, le prix d’internet va encore baisser.
Après avoir levé 15 millions de dollars l’an dernier et participé à des campagnes de dépistage du coronavirus, le fondateur de la start-up nigériane de biotechnologie veut sortir des frontières de son pays.
Au sein de la World Wide Web Foundation, la Nigériane travaille avec les Nations unies, mais aussi les Gafam, pour améliorer l’accès des femmes à internet, les aider à développer leur leadership et limiter les violences dont elles sont victimes en ligne.
Pandémie oblige, le montant des fonds levés en capital-investissement par les jeune pousses africaines a reculé de près de 30 % en 2020 mais leur nombre a augmenté, selon le dernier rapport de Partech Africa.
En ouvrant la porte aux investisseurs privés dans les télécoms puis Internet, les États leur ont laissé la main sur le juteux marché des données. Repenser la fiscalité et la régulation est la seule voie pour reprendre le contrôle.