La disparition du patriarche Saleh Azar laisse Hajal Massad (88 ans) seul en première ligne. Les deux hommes ont toujours appliqué la même recette : business et discrétion.
Pas franchement africaine et plus vraiment libanaise, cette diaspora invente, pas à pas, sa propre identité. Au-delà d’une réussite économique incontestable, les dernières frontières sont la politique et la société civile.