Malgré la désorganisation provoquée par la pandémie de Covid-19, opérateurs portuaires et logisticiens ont continué à investir dans de nouveaux outils.
Malgré la désorganisation provoquée par la pandémie de Covid-19, opérateurs portuaires et logisticiens ont continué à investir dans de nouveaux outils. Ces derniers sont essentiels pour tirer profit de l’actuelle reprise des échanges.
Gestion des flux, prise de rendez-vous, formalités administratives… Du Maroc au Bénin en passant par le Sénégal, les opérateurs portuaires et logistiques, dont APM Terminals, investissent pour digitaliser leurs activités.
Créée par les jeunes entrepreneurs Bamba Lo et Rokhaya Sy, le spécialiste des livraisons a ouvert son tour de table aux investisseurs pour financer sa montée dans la filière de transport.
Face à un port ivoirien en pleine refonte, le voisin ghanéen a attiré d’importants investissements pour réaliser un nouveau terminal ultramoderne. La lutte pour la suprématie régionale s’intensifie.
Algorithmes, géolocalisation et applications bousculent la logistique sur le continent. Fondée en 2018, la jeune pousse nord-africaine Freterium affiche de grandes ambitions sur ce créneau.
Face aux mastodontes de la logistique, les géants mondiaux que sont MSC, CMA CGM, Bolloré, Maersk ou encore Cosco, un écosystème de start-up émerge ces dernières années en Afrique. La jeune pousse nigériane Kobo360 est à l’avant-garde de cette révolution.
Le groupe français a lancé en 2019 un label pour réduire l’impact sur l’environnement de ses terminaux portuaires et activités logistiques. Premier bilan de cette démarche, traduisant une tendance de fond dans le secteur, en Afrique de l’Ouest.
Amorcé avant la pandémie de Covid-19, l’investissement des opérateurs portuaires et des logisticiens dans la chaîne du froid s’accélère. Même si les obstacles sont nombreux.