Le président soudanais Omar el-Béchir a fustigé le « néo-colonialisme » occidental en justifiant l’expulsion de plus d’une dizaine d’ONG internationales au Darfour, accusées par Khartoum de collaborer avec la Cour pénal internationale (CPI).
La Syrie, l’Iran et leur allié libanais du Hezbollah ont dénoncé le mandat d’arrêt délivré par la Cour pénale internationale (CPI) contre le président soudanais Omar el-Béchir pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour.
Le Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l’Union africaine va demander au Conseil de sécurité de l’ONU d' »interrompre » la procédure engagée par la CPI contre le président soudanais Omar el-Béchir, a annoncé le président du CPS lors d’un point de presse.
L’Afrique du Sud a qualifié de « regrettable » pour le processus de paix au Soudan le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) émis à l’encontre du président Omar el-Béchir.
La rébellion tchadienne a exprimé auprès de l’AFP sa « solidarité avec le président el-Béchir, estimant que le mandat d’arrêt lancé par la Cour pénale internationale (CPI) contre lui « n’a aucun sens ».