Le secteur doit redevenir une priorité, et l’un des principaux moteurs de croissance. Au programme : la structuration des acteurs et la promotion des investissements privés.
Deux plans complémentaires, lancés respectivement en 2005 et 2006, définissent la première stratégie industrielle du pays. Ambition : hisser dix secteurs aux premières places mondiales.
Extension des réseaux de transport, création de pôles économiques locaux et de nouveaux centres urbains… Les chantiers ne manquent pas. Notamment pour faciliter les déplacements sur tout le territoire. Et au-delà.
Le royaume mise sur l’ouverture économique. Ses priorités : moderniser le pays et s’attaquer au problème de la pauvreté, à coups de programmes stratégiques. Qui élabore ces plans pour demain ? L’État se donne-t-il les moyens de ses ambitions ?