![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2018/04/06/21318hr_-e1523629993388-660x440-1523630033.jpg)
![L’avenue Mohammed-VI, à Tanger, le long de la baie tangéroise. © Dubois/Andia.fr](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1500,height=750,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2018/04/06/21318hr_-e1523629993388.jpg)
Dossier
Maroc : le paradoxe du Nord
A l’ouest, Tanger et sa petite sœur Tétouan, symboles d’une mondialisation heureuse. A l’est, Al Hoceima, longtemps oubliée du développement. Si toutes trois dorment désormais dans le même lit administratif, les premières finiront-elles par réveiller l’arrière-pays rifain ?