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![Le chef du gouvernement marocain, Saadeddine El Othmani, avec son prédécesseur, le secrétaire général du Parti justice et développement (PJD), Abdelilah Benkirane, lors d’un meeting électoral le 25 septembre 2016 à Rabat. © Abdeljalil Bounhar/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1500,height=750,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2017/03/20/el-othmani.jpg)
Dossier
Maroc : PJD, la preuve par sept
Le 25 novembre 2011, les législatives donnaient la majorité aux islamistes, qui promettaient de changer la façon de gouverner et de réformer le pays. Force est de constater que leur bilan n’est pas brillant.