Malgré une conjoncture économique et sécuritaire difficile, le pays conserve sa stabilité politique et maintient le cap vers le développement. Bilan de la première année du nouveau quinquennat.
Réélu en mars 2016, Mahamadou Issoufou semble avoir les coudées franches pour son second mandat. Gouvernance, sécurité, croissance et, surtout, lutte contre la corruption… Le président nigérien est sur tous les fronts.
Taormina. Sicile. 26 mai 2017. Les chefs d’État des pays les plus puissants de la planète se réunissent au sein du G7. Parmi leurs invités : Mahamadou Issoufou. Le président nigérien serre des mains ; celle d’Emmanuel Macron, nouvellement élu en France, ou celle de l’Américain Donald Trump, à la poigne si redoutée.
Créé en août 2016 après le ralliement du MNSD-Nassara à la majorité présidentielle, le FRDDR, qui rassemble une dizaine de formations, surfe sur la vague du mécontentement populaire.
Petit-fils de l’ancien président Seyni Kountché, Aziz Kountché est depuis 2016 à la tête de Drone Africa Service. Une start-up unique dans la région qui n’a pas tardé à trouver sa clientèle.
Terrorisme et trafic de cocaïne avaient mis à mal sa réputation commerciale. L’État investit pour que la « porte du Sahara » retrouve tout son attrait.
De grands présidents y ont séjourné, et le Paris-Dakar s’y est arrêté. Pour que ses quatre étoiles brillent de nouveau, l’établissement a été rénové à grands frais. En attendant sa privatisation ?