À 25 km de Pointe-Noire, l’ancienne capitale du royaume de Loango abrite l’unique musée du Congo. Un lieu hautement symbolique et menacé, faute de moyens.
Carrefour d’affaires, lieu de villégiature des familles d’expatriés ou havre balnéaire pour Brazzavillois en vacances, la cité portuaire ne manque pas de visiteurs. On y a construit plus d’hôtels ces dix dernières années qu’en cinquante ans.
Malgré un marché de la construction en plein essor, à Pointe-Noire, l’offre immobilière est cruellement déficitaire. Les prix s’envolent et deviennent prohibitifs.
BPH Agricole produit légumes frais, maïs et poisson pour le marché local. Et va bientôt exporter de l’huile essentielle d’eucalyptus. Le tout en respectant l’environnement.
Ponténégrins d’adoption, pinceau à la main ou caméra au poing, ils puisent dans la cité océane l’inspiration du grand large et la quiétude propice à la création.
Ponténégrins d’adoption, pinceau à la main ou caméra au poing, ils puisent dans la cité océane l’inspiration du grand large et la quiétude propice à la création.
La Centrale électrique du Congo, au sud de la capitale économique, est opérationnelle depuis quelques mois. Pourtant, les délestages continuent. À qui la faute ?
Depuis quarante ans, son nom rime avec or noir. Partout, l’intense activité des majors européennes et américaines est visible. Pourtant, Pointe-Noire est loin de respirer l’opulence.
Principale porte d’entrée du bassin du Congo, le Port autonome de Pointe-Noire renforce ses positions. Premiers résultats du plan de modernisation, le trafic augmente, les cadences aussi.
Engagés en politique ou dans la vie associative, tous passionnés par l’humain, ils ont fait et font encore bouger leur ville, et le Congo. Portrait de Mambou Aimée Gnali.
Engagés en politique ou dans la vie associative, tous passionnés par l’humain, ils ont fait et font encore bouger leur ville, et le Congo. Portrait de Micheline Potignon Ngondo.