Dans « Demain j’aurai vingt ans », Alain Mabanckou racontait une jeunesse ponténégrine. La sienne. Pour les quatre-vingt-dix ans de la cité océane, l’écrivain franco-congolais nous livre un petit supplément de souvenirs et son point de vue sur Ponton-la-Belle version 2012.
Ce temple de la cuisine congolaise en général et ponténégrine en particulier est l’un des restaurants les plus appréciés de la cité. Un succès qui doit beaucoup à son énergique patronne.
Réélu pour un second mandat en 2008, le député-maire de Pointe-Noire revient sur l’évolution, les projets de la commune et les enjeux auxquels elle est confrontée.
Un vaste plan d’eau, une baie profonde, une saillie rocheuse pour y accrocher une digue… C’est ce qui a décidé les Français à créer la commune de Pointe-Noire.
Elle a bien grandi depuis sa naissance, le 11 mai 1922. Dopée par ses activités pétrolières et réputée pour sa douceur océane, la capitale économique du Congo a vu sa population décupler depuis les années 1960. Malgré sa bonne fortune, elle peine aujourd’hui à être une cité où il fait bon vivre pour tout le monde.
Engagés en politique ou dans la vie associative, tous passionnés par l’humain, ils ont fait et font encore bouger leur ville, et le Congo. Portrait de Paul Tchignoumba.
Engagés en politique ou dans la vie associative, tous passionnés par l’humain, ils ont fait et font encore bouger leur ville, et le Congo. Portrait de Célestine Bagniakana.
Engagés en politique ou dans la vie associative, tous passionnés par l’humain, ils ont fait et font encore bouger leur ville, et le Congo. Portrait de François Tchichellé.
Ponténégrins d’adoption, pinceau à la main ou caméra au poing, ils puisent dans la cité océane l’inspiration du grand large et la quiétude propice à la création.
La ville a été créée pour être le point de départ et d’arrivée, sur le golfe de Guinée, du réseau de communication du pays et de ses voisins enclavés. Qu’en est-il aujourd’hui ?