Déjà particulièrement complexe, l’échiquier politique congolais est aujourd’hui devenu illisible. Il fut un temps, pas si lointain, où tout était simple, ou presque.
Entre le gouvernement et l’opposition, c’est l’impasse. Quand le pouvoir insiste sur la tenue des scrutins locaux, d’autres n’y voient qu’un moyen pour rester en place. Et refusent toute main tendue.
Entre les scissions dans la majorité et le report des différents scrutins, le tout nouveau président du PPRD a fort à faire pour amener les Congolais au dialogue.
Secrétaire général du Rassemblement des Congolais démocrates et nationalistes (RCDN) et coordonnateur de la plateforme Soutien à Étienne Tshisekedi (SET), pour lequel il a déjà fait campagne en 2011, Moïse Moni Della Idi fait partie de ceux qui, depuis plus d’un an, multiplient les actions de terrain pour barrer la route à un éventuel troisième mandat du président sortant, Joseph Kabila.
Pour beaucoup d’observateurs, l’un des points positifs de la gestion du Congo par le président Mobutu aura été de forger et de consolider son unité nationale. On entend souvent dire que c’est à Mobutu que l’on doit le nationalisme congolais, qui se définit comme le sentiment d’appartenance à une seule nation.
Malgré la chute des cours des matières premières et des recettes en diminution, la croissance reste soutenue. Mais le retard du développement des infrastructures risque d’en limiter l’impact.
Faiblesse des dépôts, manque d’agences bancaires, microfinance sous-développée… Malgré les mesures incitatives, peu d’habitants ouvrent un compte. Au grand désespoir de l’État de la RDC.
L’ingénieure Thérèse Izay a inventé des androïdes pour régler la circulation. Désormais, ça roule à Kinshasa et à Lubumbashi. Et bientôt peut-être sur tout le continent…
Musique en streaming, géolocalisation de bonnes adresses, prise en charge de personnes malades… Les développeurs rivalisent d’ingéniosité pour rattraper leurs confrères brazzavillois.