![Mobutu Sese Seko, président de la RDC, alors Zaïre, en juin 1983 à Lubumbashi. © Pascal Maitre/J.A.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=300,height=200,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2015/11/24/mobutu.jpg)
![Le maréchal-président du Congo-Zaïre Joseph-Désiré Mobutu, en juin 1983, à Lubumbashi. © Pascal Maitre pour J.A.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1500,height=750,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2012/09/24/RS20358_ARCH201209141428000.jpg)
Dossier
RDC : la nostalgie Mobutu
Il y a 50 ans, le 24 novembre 1965, le général Joseph-Désiré Mobutu, à la tête de l’armée, s’emparait du pouvoir en renversant le premier président de l’ex-Congo belge, Joseph Kasa-Vubu. Près de trente-deux ans plus tard, le 7 septembre 1997, l’ex-président du Zaïre décédait à Rabat, au Maroc, loin des siens. Aujourd’hui, le jugement des Congolais oscille entre indulgence, regret d’un orgueil perdu et souvenir cauchemardesque d’une dictature à bout de souffle. Un dossier paru en 2012 dans Jeune Afrique.