Installé en France, il se dit le « fils putatif » de Georges Brassens. Ses textes corrosifs accompagnés à la guitare lui valent la reconnaissance des professionnels comme du grand public. Portrait.
Les récentes campagnes électorales n’ont vu émerger que très peu d’élues. Pourtant, les Tchadiennes s’activent pour peser dans le paysage politique et participer au développement du pays.
Ils ont fait front commun aux élections locales de janvier. Aujourd’hui, les membres de la Coordination des partis politiques pour la défense de la Constitution sont persuadés que la majorité tchadienne veut, par tous les moyens, les intimider.
Hinda Déby Itno remplit pleinement son rôle de première dame du Tchad. Particulièrement active, elle n’hésite pas à s’afficher aux côtés de son mari. Et à prendre publiquement la parole pour le soutenir.
À l’est du Tchad, les relations avec le voisin soudanais se sont apaisées. Au nord, les « conséquences incalculables » de la chute de Kadhafi, tant redoutées par Idriss Déby Itno, n’ont pas eu lieu. De quoi se concentrer sur les problèmes intérieurs.
Pour devenir une plateforme régionale, le pays construit un nouvel aéroport où il va tenter de fournir du carburant low cost. Reste à renforcer la compagnie nationale, qui traverse une mauvaise passe.
Pour relancer la production, les autorités tchadiennes ont décidé d’apurer le passif de l’entreprise nationale et de créer, en janvier, CotonTchad Société nouvelle. Cela suffira-t-il ?
Pour faire ses courses dans la capitale tchadienne, mieux vaut ne pas avoir oublié son panier ou son cabas. Les sacs en plastique sont désormais formellement interdits.
Ancien haut fonctionnaire du ministère des Finances et ex-directeur général adjoint de la Banque commerciale du Chari, Ibrahim Badji Mollimi est, depuis un an, à la tête de la Compagnie sucrière du Tchad (CST).