La baisse des prix annoncée par Apple sur les anciennes versions de son célèbre téléphone change la donne sur un marché africain que se partageaient les constructeurs traditionnels.
Si l’opérateur historique reste en tête, il perd peu à peu du terrain. Et ses deux rivaux, qui reçoivent cette année le renfort de nouveaux actionnaires, vont lui donner encore plus de fil à retordre.
La clientèle continue de progresser, mais la rentabilité des activités diminue. Pour résoudre cette équation, les opérateurs disposent de trois moyens d’action.
Le rachat des activités africaines du koweïtien Zain négocié actuellement par le français Vivendi s’inscrit dans un mouvement général de concentration des grands opérateurs internationaux sur le continent.