La capitale angolaise reste la ville des extrêmes. Vingt-huit années de guerre civile et de gestion opaque des ressources pétrolières ont creusé un immense fossé entre les nantis et les plus démunis. L’afflux de pétrodollars attise les dérapages de l’inflation, et donc du coût de la vie. Ce qui n’empêche pas quelques happy few d’étaler leur réussite.