![Marche de protestation à Tunis le 22 janvier. Les manifestants réclament leur droit à une vie digne. © Riadh Dridi/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=300,height=200,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2016/01/25/tunisie-manifs-1.jpg)
![Un manifestant porte un portrait de Mohamed Brahmi, le 14 janvier 2014 à Tunis. © Reuters](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1500,height=750,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2014/02/09/009022014120815000000brahimi.jpg)
Dossier
Tunisie : la gauche a-t-elle un avenir ?
Les manifestations se multiplient depuis le début de l’année en Tunisie, portées par une colère notamment alimentée par la hausse des prix. Pourtant, la gauche tunisienne peine à exister, sur la scène politique, comme dans la rue. Pourquoi ? Retrouvez notre enquête sur cette gauche en quête d’elle-même et de nouveaux leaders.