Vie politique, situation financière, climat social… Alors que le train des réformes et de la relance économique semble marquer le pas, où en est vraiment le pays ?
Le processus engagé après la révolution de 2011 est allé bon train jusqu’en 2015, puis s’est essoufflé. Le cap sur la démocratie et les réformes – politiques, sociales, économiques – est tenu. Mais, sans réelle boussole, difficile d’avancer.
L’Union générale tunisienne du travail (UGTT) ne devrait pas avoir de place dans le paysage politique tunisien, elle y tient cependant une position… « centrale ».
Le pays a vu affluer sur son territoire près de 1 million de personnes fuyant la Libye au cours de la seule année 2011. Pourtant, depuis, il n’a pas jugé nécessaire de prévoir un statut pour les réfugiés et demandeurs d’asile.
Le projet de budget 2018 est révélateur des travers du pilotage économique du pays, qui empêchent ce dernier de repartir de l’avant. Car le coût de la lutte antiterroriste n’explique pas tout. Décryptage.
Ni désenchantée ni enchantée, la génération des 25-35 ans est avide de vivre mieux. Diplômés en quête d’emploi, conseillers en stratégie politique ou culturelle, ils sont bien résolus à changer le pays.
Dans la plus chic banlieue de la capitale, le tunisien Mabrouk et le canadien Four Seasons ouvriront, le 11 décembre, le premier cinq-étoiles de l’enseigne dans le pays.