Élue en mars 2009 à la présidence de l’Organisation de la femme arabe, la première dame de la Tunisie, Leïla Ben Ali, s’est beaucoup investie pour le rayonnement de l’OFA.
Les études internationales l’attestent : elles sont les plus libres, les plus diplômées et les plus actives de la région Maghreb - Moyen-Orient. Alors que le pays s’apprête à accueillir, en octobre, le 3e congrès de l’Organisation de la femme arabe, le combat des Tunisiennes est-il fini ?
Promulgué sous le gouvernement Bourguiba, le code du statut personnel (CSP), qui regroupe un ensemble de lois progessistes, a donné à la femme tunisienne une place singulière dans le monde arabe. 54 ans après, où en est l’émancipation féminine en Tunisie ?