Gouvernance, relance économique, réconciliation nationale… Avec l’investiture du gouvernement Fakhfakh, le nouvel exécutif peut enfin entrer en action. Principale mission : développer le pays.
Près de dix ans après la révolution, l’inertie et la perte de confiance demeurent. L’un des défis du nouvel exécutif sera de rassembler enfin les Tunisiens.
Le gouvernement parviendra-t-il, enfin, à concrétiser les revendications de la révolution ? À proposer aux Tunisiens un projet fédérateur ? Il est temps, en tout cas, que les Tunisiens retrouvent la « grinta », la niaque…
Le débat sur la nécessaire refonte de la loi électorale resurgit, tant celle en vigueur a montré ses failles, en particulier en provoquant le morcellement de l’Assemblée.
Pauvreté, disparités régionales, explosion de la dette intérieure, Parlement atomisé… Depuis les soulèvement révolutionnaires de 2010-2011, les Tunisiens ne parviennent pas à stopper la spirale infernale dans laquelle est enfermé leur pays.
Le secteur aéronautique tunisien profite à plein de la croissance mondiale du marché, et ses atouts stratégiques lui assurent un bel avenir à court terme. Mais gare à la concurrence.
Ancien ministre de l’Économie et des Finances, l’économiste Hakim Ben Hammouda estime que seuls une vision claire et fédératrice, la poursuite de la stabilisation de la situation économique et un grand programme d’investissements pourraient relancer l’économie tunisienne. Explications.
Nouvelles technologies, mutualisation des moyens, changement de pratiques… Les exploitants tunisiens, petits et grands, se distinguent par leur esprit d’innovation.
Lieux de rencontres et de réflexion, d’expression pour les artistes locaux, les cafés culturels donnent un supplément d’âme à la capitale tunisienne. Rendez-vous dans le plus actif d’entre eux.