Alors que les établissements nigérians accaparent le Top 10, la suprématie régionale – et nationale – entre Zenith Bank Nigeria et Access Bank Nigeria est à son paroxysme.
Selon Cheryl Buss, PDG d’Absa International, l’expansion des États membres des Brics devrait entraîner une augmentation des investissements internationaux en Afrique.
Après avoir fait les beaux jours d’Absa Bank à Nairobi, le Kényan a pris les rênes d’Ecobank il y a huit mois. Successeur du Nigérian Ade Ayeyemi à la tête du groupe panafricain depuis 2015, le quinquagénaire, qui se sait très attendu, n’ignore pas que sa remarquable trajectoire doit beaucoup à son entourage et à la qualité de son réseau.
Candidat du président Ruto, l’ancien économiste principal du FMI, va certainement être confirmé au poste de gouverneur de la Banque centrale du Kenya. Il devra notamment organiser le sevrage de dette extérieure.
Dix-neuf marchés financiers ont gagné en attractivité selon la dernière édition de l’Absa Africa Financial Markets Index. Amélioration des conditions d’investissement, adoption d’une finance durable et plus verte, autant de critères qui expliquent leur progression dans le classement, où le royaume chérifien résiste face à une armada anglophone.
Après une année de franc redémarrage et de regain d’optimisme, l’élan des banques africaines – dominées par Standard Bank, FirstRand et National Bank of Egypt – a été stoppé net par la crise sanitaire, augurant de lendemains difficiles pour le secteur bancaire.
Sans la stopper, la banque sud-africaine a décidé de limiter sa participation à l’industrie du charbon. Absa Bank annonce qu’elle ne financera plus de nouveaux projets que « dans des circonstances exceptionnelles » et « selon des directives strictes ».
Ancien gouverneur adjoint de la Banque centrale d’Afrique du Sud (South African Reserve Bank), Aaron Daniel Mminele, de son nom complet, prendra ses fonctions le 15 janvier. Il sera, depuis sa création en 1991, le premier directeur général noir d’Absa Bank.
Jeune Afrique dévoile son classement général 2019 des 200 premières banques africaines, permettant de les comparer par leur bilan et leur produit net bancaire. Si le top 10 reste dominé par les établissements bancaires sud-africains, les marocains y consolident leur ancrage.
Après le désengagement de Barclays, la banque sud-africaine Absa Bank peine à dessiner un projet commercial dans un contexte concurrentiel et économique tendu.
Nommé CEO par intérim à la suite du départ à la retraite de Maria Ramos, ce Sud-Africain de 61 ans, membre du conseil d’administration de la banque depuis 2017, a pris ses fonctions le 1er mars. Diplômé des universités de Johannesburg et d’Afrique du Sud, il a commencé sa carrière chez KPMG et a passé dix ans chez NedBank Group.
Le 3e groupe bancaire du continent a annoncé un résultat courant 2018 de 16,13 milliards de rands, en hausse de 3 % par rapport à l’exercice précédent. Mais le recul du britannique Barclays pèse sur son bénéfice.
« Comment réussir son divorce… en affaires ? » Maria Ramos pourrait rédiger un manuel à l’intention des managers confrontés à ce challenge. À la fin de juin, la séparation entre Barclays et son ex-filiale Absa Group Limited, enclenchée en mars 2016, a été officialisée.