L’acquisition du producteur d’énergie indépendant pour plus d’un milliard de dollars donne naissance au plus grand producteur privé de renouvelable en Afrique. Cette transaction constitue le « deal de l’année » décerné à l’occasion de notre classement des 500 champions africains.
L’institution internationale prête 300 millions de dollars à Yaoundé afin d’améliorer la performance financière d’un secteur en proie à un déséquilibre financier structurel, du fait notamment des difficultés de trésorerie de l’énergéticien Eneo.
Incapable d’obtenir le règlement de ses factures par Yaoundé, ce qui le met dans l’incapacité de payer ses fournisseurs, l’énergéticien Eneo traverse une crise sans précédent. Décryptage.
Le fonds britannique a déposé auprès du gouvernement une demande de conciliation, afin de préserver ses droits face à la situation de quasi-faillite de l’énergéticien. Faute d’une entente entre les parties à la fin du mois d’août, l’actionnaire de référence va recourir à l’arbitrage.
Le Belge Patrick Eeckelers aura tenu quinze mois à la tête de l’énergéticien. Les grèves à répétition, notamment des sous-traitants, et une atmosphère délétère au sein de la filiale du britannique Actis auront eu raison de lui.
Le principal actionnaire de l’énergéticien Eneo réclame 186 milliards de F CFA d’arriéré à l’État camerounais. Dans une lettre au Premier ministre, le fonds britannique exige un règlement le 28 avril au plus tard.
Selon son PDG, Chris Antonopoulos, le producteur indépendant africain veut étendre ses activités sur le continent, lequel va « connaître l’âge d’or des énergies renouvelables ».
Les transactions sur le continent ont plus que doublé sur les six premiers mois par rapport à la même période un an auparavant. Mais si certains secteurs comme la santé et l’agroalimentaire séduisent les investisseurs, des barrières demeurent.
Associé à AFC, l’égyptien Infinity reprend le champion de l’énergie renouvelable africain lancé par le britannique Actis. Une opération à 1,5 milliard de dollars.
Faute d’un modèle économique solide, l’énergéticien dépend des compensations de l’État, qui ne paie plus ses factures. Actis, son actionnaire principal, veut se désengager. Enquête sur un secteur sinistré.
Le capital-investisseur britannique Actis a officiellement repris la gestion de deux importants véhicules de son ex-confrère dubaïote et porte ainsi à 12 milliards de dollars le niveau de ses actifs sous gestion à travers les pays émergents.
Révélée par nos confrères de Jeune Afrique Business Plus, l’information selon laquelle le fonds d’investissement britannique Actis cherche à se séparer d’Energy of Cameroon (Eneo) n’a pas tardé à créer des remous à Yaoundé.
Le plus grand champ éolien en construction dans la région ouest-africaine livrera une première tranche de ses mégawatts d’énergie issue de la force du vent en décembre prochain. Les premières pièces composant ses turbines ont été réceptionnées le 23 mai à Dakar.
Les désaccords se multiplient entre le gouvernement et le fonds d’investissement, actionnaire de référence d’Eneo, pierre angulaire du système électrique camerounais. Au cœur du conflit, le renouvellement anticipé du contrat de concession de l’énergéticien.
Le distributeur d’électricité Eneo, contrôlé par Actis, attend de voir sa concession renouvelée au Cameroun. Mais la décision de l’État est bien incertaine.
Le fonds d’investissement Actis a annoncé lundi le lancement des travaux de construction du Douala Grand Mall, dans lequel sera installé un supermarché Carrefour, exploité par le groupe franco-japonais CFAO.
L’université implantée à Casablanca lance un MBA développé avec la Regent Business School de Durban dans le cadre de sa participation au réseau Honoris.
Le fonds britannique Actis a lancé Honoris United Universities, un réseau universitaire privé destiné à s’étendre sur tout le continent. Son PDG en détaille la philosophie.