Depuis le 1er janvier 2024, les femmes doivent représenter au moins 30 % des membres des organes de gouvernance des sociétés marocaines cotées en Bourse. Cinq mois après l’entrée en vigueur de cette loi, les résultats sont mitigés.
Proactif, le PDG de BUA croit ce qu’il voit. Il suit son instinct plutôt que les comportements corporatistes, et fuit toutes les décisions frileuses. Une attitude largement validée par une belle enveloppe accordée par la Société Financière Internationale (IFC).
En difficulté au Maroc, le poids lourd de l’immobilier multiplie les projets à l’ouest du continent. Déjà présent à Abidjan, Dakar, Conakry et Accra, il vient de s’engager à construire 1 000 logements collectifs à Lomé.
Les industriels du bâtiment et des travaux publics redressent la tête à des rythmes variables sur le continent, comme le montre notre classement des 500 Champions africains 2023. De son côté, le cimentier Dangote s’envole.
Fragilisé par l’affaire EPC, le patron du géant marocain de l’immobilier Addoha, en difficulté financière, veut croire au rebond et défend ses positions africaines.
Si nombre de dirigeantes africaines sont à la tête de groupes familiaux, les multinationales n’hésitent plus à recruter des femmes, dont la « compétitivité » est reconnue. Portraits.
Le cimentier fondé par Anas Sefrioui sort le chéquier et booste ses capacités, alors que l’arrivée à Libreville du groupe Dangote est désormais imminente.
Les groupes immobiliers locaux Kaydan et Batim comme les marocains Addoha et Alliances multiplient les projets à Abidjan et dans sa périphérie. Mais, faute d’un marché du crédit adapté, ces logements restent inaccessibles pour un segment important de la population.
L’action de la société immobilière est le titre le moins cher de la cote casablancaise. Une chute interminable qui démontre le manque de confiance dont souffre le groupe.
Pour renflouer les caisses de l’État, la Direction générale des impôts marocaine (DGI) a multiplié le nombre des contrôles fiscaux auprès des plus grands groupes marocains.
Ils sont beaux, riches et ont la vie devant eux… Les enfants des capitaines d’industrie du royaume ne font pas que mener grand train. Ils sont déjà actifs dans ces immenses conglomérats qui leur appartiendront un jour.
Malik Sefrioui a eu à peine le temps de finir ses études au Babson College, aux États-Unis, qu’il était nommé, en 2014, vice-président du groupe cimentier Ciments de l’Atlas-Ciments de l’Afrique, fondé en 2007 par son père, Anas, et qui totalise aujourd’hui une quinzaine d’unités au Maroc et sur l’ensemble du continent.
Désendettés, les numéros un et deux du secteur de l’immobilier marocain, Addoha et Alliances misent sur les classes moyennes et l’Afrique subsaharienne pour repartir de l’avant.
En dix-huit mois, le leader marocain de l’immobilier a réussi à réduire drastiquement son endettement. Optimiste, son patron détaille pour JA ses ambitions, qui dépassent largement les frontières du royaume.
Maisons, centres commerciaux, hôtels et centres de conférences…Les entrepreneurs turcs se positionnent sur tous les grands chantiers sur le continent africain. Ils se distinguent notamment par leur capacité à investir des marchés sur lesquels les multinationales n’osent s’aventurer, comme en Somalie ou en Libye. Enquête dans la dernière édition de Jeune Afrique (n°2910), en kiosques du 16 au 22 octobre.
Au lendemain du lancement de son Plan génération cash, le promoteur immobilier marocain a vu son cours s’effondrer à Casablanca. Chronique d’un grand malentendu.
Le leader de la promotion immobilière au Maroc axe sa politique de recrutement sur l’excellence des profils, portant une attention particulière aux étudiants subsahariens.
Promu directeur général délégué du groupe Addoha en 2011, Saad Sefrioui est devenu l’un des piliers de l’expansion panafricaine du géant marocain de l’immobilier.
Confronté à un marché de l’immobilier en berne, le promoteur marocain Addoha renforce son capital et parie sur la construction de logements sociaux. Le déficit de logements au Maroc est estimé à 800 000 unités.
Le savoir-faire reconnu des groupes marocains dans la construction de logements sociaux crée de nouvelles opportunités pour les deux leaders chérifiens en Afrique subsaharienne où les besoins sont énormes.
Alors que le secteur immobilier marocain est frappé par la crise, Addoha, le premier promoteur marocain, a créé la surprise en annonçant le 1er septembre des résultats semestriels… en forte hausse.