Importance des infrastructures, implication des institutionnels, mitigation du risque… Le codirecteur général de l’Africa50 Infrastructure Acceleration Fund (IAF) partage sa stratégie avec Jeune Afrique alors que le fonds s’apprête à réaliser ses premières transactions.
Déterminés à parler d’une seule voix, les pays africains arriveront à Dubaï avec une série de requêtes. Le rappel de certains engagements non tenus et de grandes ambitions structurantes. En voici la liste.
Africa50, le fonds d’investissement dans les infrastructures de la Banque africaine de développement, a lancé un concept innovant : le recyclage d’actifs. Trois pays se sont déjà laissé convaincre.
Alors que le premier Sommet africain sur le climat se conclut sur une promesse de 23 milliards de dollars d’investissements verts sur le continent, focus sur les bons élèves en matière d’énergies renouvelables.
Africa50, l’instrument financier de la Banque africaine de développement vient d’obtenir, de la part de 17 investisseurs africains, de nouveaux engagements pour une contribution au fonds d’accélération des infrastructures.
À Marrakech, à l’occasion de l’Assemblée générale des actionnaires, le directeur général de la filiale de la Banque africaine de développement chargée des infrastructures a fait un pas inédit vers les fonds souverains du continent.
Retardé par des « incompréhensions » entre ses actionnaires, Africa50 et ADP, le chantier du futur terminal doit démarrer d’ici à la fin de l’année, assure Namory Camara, DG de la société d’exploitation de l’aéroport.
Formé en février, le consortium – qui dispose d’une concession de vingt-cinq ans – a récemment posé la première pierre de la plateforme aéroportuaire dont les travaux doivent durer deux ans.
En clôture de l’Africa Investment Forum, qui s’est tenu la semaine dernière à Johannesburg, le président de la BAD, Akinwumi Adesina, a annoncé la conclusion de 45 contrats, représentant plus de 32 milliards de dollars. « Une grande réussite », s’est-il félicité.
Le fonds panafricain dédié aux infrastructures Africa 50 a inauguré vendredi ses nouveaux locaux à la Marina de Casablanca. Une occasion de faire le point sur les investissements et l’actionnariat de la plateforme panafricaine.
Diplômé de l’université de Delhi et de l’Indian Institute of Management d’Ahmedabad, cet Indien de 59 ans rejoint le comité d’investissement du fonds Africa50. PDG d’Adani Transmissions, il a occupé divers postes de direction quatre ans durant chez Tata Power. Il siège également au conseil d’administration de cinq sociétés.
Créé il y a quatre ans, ce fonds consacré aux infrastructures constitue enfin son premier portefeuille de projets. Mais il doit pour cela mobiliser davantage d’investisseurs, à commencer par les États…