À la longue liste des projets de Macky Sall audités par les nouvelles autorités de Dakar, s’ajoute le TER. L’agence de promotion des investissements et des grands travaux (Apix) pointe du doigt une surfacturation de 55%. Le train express régional aurait coûté 883 milliards de francs CFA au lieu de 568 milliards de francs CFA.
En grande difficulté financière, le pavillon national créé en 2017 par Macky Sall enchaîne les erreurs stratégiques. Et peut aller jusqu’à mettre en jeu le sujet crucial de la sécurité.
Ce jeudi 9 mai, vers 1 heure du matin, un avion Air Sénégal en partance pour Bamako a fait une sortie de piste au décollage. L’incident a blessé 11 des 78 passagers et a provoqué la fermeture de l’aéroport international Blaise-Diagne pendant près de douze heures.
Après le rachat de la participation de Summa et de Limak, les services de manutention de l’aéroport international Blaise-Diagne sont revenus dans le giron sénégalais. Mais pas tout à fait selon le scénario prévu. Explications.
Portée par le secteur touristique, mais aussi par l’attrait croissant des Dakarois, cette section du littoral sénégalais est pleine de vitalité économique. Une dynamique facilitée par la construction d’infrastructures comme l’autoroute à péage Dakar-Mbour ou encore le TER.
Projet phare du dernier mandat de Macky Sall, le port de Ndayane construit par le groupe dubaïote se trouve au cœur de nombreuses attentes et spéculations.
L’aéroport international Blaise-Diagne de Dakar a franchi ce palier au cours des trois premiers trimestres de l’année 2023, d’après un rapport de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie. Cette dernière s’inquiète néanmoins d’un « dysfonctionnement » dans le respect des créneaux horaires, qui touche la quasi-totalité des vols au départ.
Sur le continent depuis six ans, le groupe français, qui vient d’annoncer son arrivée au Bénin, multiplie les contrats, tant dans le duty free que dans la restauration.
Avec une fréquentation en hausse par rapport à 2019 et une toute nouvelle accréditation carbone, l’aéroport de Dakar, qui vient de souffler ses cinq bougies, dispose encore d’importants leviers de développement.
Après avoir démarré en trombe l’année 2022, l’aéroport international Blaise-Diagne (AIBD) est confronté à la plus grande crise de carburant jamais connue dans le secteur aérien sénégalais.
Dans moins de 24 heures, les avions qui se poseront à l’aéroport international Blaise-Diagne ne pourront plus s’y ravitailler en carburant. Un séisme pour la vingtaine de compagnies aériennes concernées (Air France, Air Côte d’Ivoire, Asky…).
Exit Dakar, Abidjan ou Monrovia. Depuis le début du mois de janvier et les sanctions de la Cedeao, l’aéroport de Bamako n’est plus desservi que par une poignée de compagnies aériennes.
Les frontières aériennes sénégalaises resteront fermées aux vols de passagers jusqu’au 30 juin au moins. Et la reprise des vols dépendra d’une décision concertée au sein de l’Uemoa.
Le 25 février dernier, Askin Demir, DG de 2AS, s’est voulu rassurant devant les dirigeants des compagnies présentes à l’Aéroport international Blaise-Diagne (AIBD) de Dakar. Depuis plusieurs mois, ces derniers déplorent la qualité de service de cette filiale du gestionnaire de la plateforme LAS (Limak-AIBD-Summa), détenu à 66 % par les deux sociétés turques.
L’entreprise Teyliom Logistics, du Sénégalais Yérim Sow, et la société 2AS, filiale de société sénégalaise gestionnaire de l’AIBD dirigée par le Turc Askin Demir, se disputent le marché du fret à l’import, très lucrative.
Sa construction aura pris plus d’une dizaine d’années et nécessité environ 400 milliards de francs CFA d’investissement. L’aéroport international Blaise Diagne, à quelques kilomètres de Dakar, ouvre davantage le Sénégal à l’extérieur et lui offre de nouvelles opportunités économiques.
Des lignes Dakar-New York sont en place au départ de l’Aéroport international Blaise-Diagne, grâce des vols de Delta Airlines et de South African Airways. Mais avant cela, il a fallu se plier à un audit d’une société américaine.
Le nouvel Aéroport international Blaise-Diagne (AIBD) est paralysé depuis le 14 décembre au soir, suite une grève des contrôleurs aériens sénégalais qui réclament de meilleures conditions de travail et des formations en matière de sécurité aérienne.
À l’issue d’une décennie de travaux et après moult péripéties, le Sénégal a enfin étrenné, le 7 décembre, son nouvel aéroport international Blaise-Diagne à Diass, dans la région de Thiès.
Alors que l’agrément de la société de handling SHS avait été renouvelé jusqu’en 2023, le Sénégal a finalement opté pour un opérateur unique, qui assumera l’assistance au sol à l’AIBD . La direction de SHS envisage de porter l’affaire devant la justice, cette situation de monopole étant critiquée par le patronat sénégalais.
Le décollage des premiers vols au départ du nouvel aéroport international Blaise-Diagne n’est pas prévu avant décembre 2017, soit bien après l’échéance évoquée par les autorités sénégalaises. Explications.
À l’arrêt depuis plusieurs mois à cause de divergences financières entre l’État sénégalais et le constructeur Saudi Bin Laden Group, le chantier de l’aéroport international Blaise-Diagne de Diass (AIBD) sera finalisé puis géré par le groupement turc Summa-Limak.
L’accord de prêt de 200 milliards de F CFA (305 millions d’euros) vise à financer l’axe autoroutier Aéroport Blaise-Diagne-Mbour-Thiès, d’une longueur de 55 kilomètres.
L’aéroport international Blaise-Diagne (AIBD) peine à voir le jour. Les désaccords entre le constructeur, l’entreprise saoudienne Saudi BinLadin, et l’État ne cessent de s’enchaîner, retardant d’autant la livraison finale.
Chargé de la construction de l’aéroport international Blaise-Diagne (AIBD) situé à Diass, dans la région de Thiès, le groupe saoudien Saudi Binladin Group en a momentanément arrêté les travaux. En cause : un désaccord autour du montant d’un avenant au contrat.