En visite à Rabat ce vendredi 26 avril, le ministre français de l’Économie Bruno Le Maire a annoncé « l’ère d’une nouvelle coopération économique » entre les deux pays.
Si les relations entre Mohammed VI et Nicolas Sarkozy ont toujours été amicales, l’épisode de la vente ratée des avions Rafale, auxquels le Maroc a préféré des F-16 américains, a été très mal vécu à Paris. Le TGV Casa-Tanger concédé à Alstom est venu à point nommé pour le faire oublier.
Projet emblématique d’Alassane Ouattara, le train urbain de la capitale économique ivoirienne sera enfin opérationnel en 2025, selon le dernier chronogramme du gouvernement. Soit huit ans après le lancement officiel des travaux.
Au cours des prochaines années, le constructeur doit relever le défi de maintenir un rythme de contrats soutenu tout en confortant sa place de premier groupe industriel du secteur en Afrique.
Les autorités ivoiriennes ont approuvé l’offre technique et financière soumise par un consortium regroupant les groupes français Bouygues Travaux Publics, Alstom, Colas Rail et Keolis pour la construction de la première ligne du métro d’Abidjan, ont indiqué ces sociétés lundi 23 décembre.
La filiale britannique d’Alstom devra verser une amende de 15 millions de livres (17,5 millions d’euros) pour des faits de corruption en Tunisie remontant à la dictature de Ben Ali.
Trois anciennes filiales d’Alstom rachetées par General Electric en 2015 ont été exclues pour respectivement douze et soixante-seize mois des appels d’offres de la Banque africaine de développement (BAD), pour des faits de corruption et de fraude remontant à 2006 et 2011.
Fusion avec Siemens, concurrence chinoise, développement des marchés maghrébins et plus récemment subsahariens, pour lesquels le groupe français vient d’inaugurer une usine en Afrique du Sud : le vice-président Afrique et Moyen-Orient du géant des transports présente sa stratégie.
En marge du sommet Union africaine- Union européenne, les présidents Ouattara et Macron ont officiellement ouvert le 30 novembre les travaux du métro d’Abidjan. Alors que la mise en fonctionnement de ce train urbain avait été annoncé en 2019-20, c’est désormais en 2022 qu’il sera opérationnel.
Alstom va fournir 22 tramways supplémentaires à Rabat et ce nouveau contrat au Maroc va lui rapporter environ 45 millions d’euros, a annoncé jeudi le groupe industriel français.
Le Maroc, qui dispose déjà de l’un des principaux réseaux ferrés du continent, va encore creuser l’écart en 2018, avec l’inauguration de sa première ligne grande vitesse (LGV) sur 200 des 350 km reliant Tanger à Casablanca.
Quasi absentes des projets d’infrastructures du pays il y a quelques années, les entreprises hexagonales reviennent à la faveur du plan d’émergence national. Une tendance de fond ?
Le président sénégalais a inauguré mercredi le lancement des travaux du Train express régional (TER) de Dakar. Réalisée par les entreprises françaises Alstom, Engie et Thales, cette ligne doit relier à terme la capitale au futur aéroport en 45 minutes.
La mise en service du premier tronçon du train urbain de la mégalopole ivoirienne est reportée une nouvelle fois d’au moins trois ans. Retour sur les péripéties d’un projet qui a bien du mal à avancer.
Les deux groupes français ont remporté l’appel d’offres pour la conception et la réalisation des infrastructures électriques et du système de communication du Train express régional de Dakar, dont la mise en service est attendue fin 2018.
Le démarrage des travaux de construction du Train express régional (TER), un des projets phares d’infrastructures du mandat de Macky Sall, est prévu à la rentrée prochaine. Après le bouclage de son financement, les candidats à l’exécution du marché de conception et de réalisation des installations de la ligne ferroviaire électrifiée sont connus.
C’est une étape cruciale avant d’espérer lancer le pharaonique projet hydroélectrique sur le fleuve Congo : la réhabilitation des barrages Inga I et II, vieux de plus de 30 ans. Plongée dans les entrailles de ces monstres de ciment en pleine cure de rajeunissement.
Pour répondre à la croissance rapide des villes, les projets de transports publics ferroviaires se multiplient, séduisant de plus en plus les citadins et faisant des émules sur l’ensemble du continent. Reste à trouver le modèle qui assurera leur rentabilité.
Le financement d’un des projets d’infrastructures les plus emblématiques du mandat de Macky Sall a été bouclé mercredi 11 mai à Dakar entre les différents partenaires, a appris « Jeune Afrique » auprès d’Abdou Ndéné Sall, le secrétaire d’État au réseau ferroviaire.
Alstom vient de conclure le rachat de 51% du capital de la société sud-africaine CTLE (Commuter Transport & Locomotive Engineering), a annoncé le groupe français dans un communiqué de presse publié le 6 avril.
Les deux entreprises françaises se chargeront de doubler la voie entre les deux dernières stations de la ligne 1 du métro du Caire, afin de rendre le trafic plus fluide.
« Ce contrat sud-africain est le plus important jamais décroché par Alstom dans le monde », indique Gian Luca Erbacci, vice-président d’Alstom pour l’Afrique et le Moyen-Orient, qui est à Johannesburg ce 4 mars. Alstom lance la production en Afrique du Sud des trains X’Trapolis Mega dans sa nouvelle usine de Dunnottar, dans la région de Johannesburg, pour son client sud-africain l’opérateur ferroviaire Prasa.
Déjà implanté au Maroc, l’équipementier ferroviaire français a signé avec plusieurs partenaires algériens et ouvrira un atelier à Annaba, dans le nord-est, à deux pas de l’usine d’assemblage et de maintenance des tramways Citadis inaugurée en mai et dont Alstom est co-actionnaire.
Elles se disputeront les quatre lots mis en compétition pour la passation des marchés de travaux et d’équipements du barrage hydroélectrique de 420 MW et dont la mise en service se situe entre 2020 et 2021. Un projet porté par l’État camerounais, EDF, Rio Tinto Alcan et IFC.
Alstom va fournir 50 rames de tramway supplémentaires destinées au prolongement du réseau de Casablanca, au Maroc, pour un montant de 100 millions d’euros, a annoncé mardi le groupe industriel français.
François Hollande et le roi Mohammed VI se sont employés à démontrer que la brouille franco-marocaine appartenait au passé lors d’une visite de deux jours du président français à Tanger.
À défaut de peser réellement sur l’économie, la campagne de boycott de l’État hébreu lancée il y a près de dix ans a ouvert la voie à l’idée de sanctions économiques internationales.