Aux assemblées générales des institutions de Bretton Woods à Marrakech, le président de la BM, Ajay Banga, a appelé à endiguer ce qu’il considère comme « un recul des progrès » dans le combat contre la pauvreté.
Le directeur général de la Société financière internationale aborde les réformes passées et en cours au sein de la filiale de la Banque mondiale. Il détaille également les investissements records réalisés par l’institution cette année.
Pandémie de Covid-19, guerre en Ukraine, urgence climatique… Le chevauchement des crises met sous pression les finances des institutions internationales. Avec le risque, pour les pays africains, de ne plus être au centre des programmes d’aide.
Proche de Donald Trump, accusé de climato-scepticisme ou, parfois, d’être un adversaire du multilatéralisme, David Malpass quittera ses fonctions à la tête de la Banque mondiale en juin, soit un an avant la fin de sa mission. Au bout de ses quatre années de mandat, quel est le bilan de l’institution en Afrique ?
Pour la période 2022-2025, l’institution multilatérale entend consacrer plus des deux tiers d’une nouvelle enveloppe de financements aux pays du continent.
Gouvernance, politiques économiques, réformes structurelles… La Banque mondiale a rendu public le 12 septembre son classement de la qualité des politiques et des institutions des pays africains, utilisé pour répartir les fonds de l’Association internationale de développement, son guichet destiné aux pays les plus pauvres.
