Le groupe camerounais vient de se doter d’une direction internationale afin de mieux attaquer les marchés africains et faire du continent un relais de croissance. Il est présent au Liberia et au Bénin.
Le bras de fer au sein du gouvernement pour le contrôle de l’important marché lié à la collecte et au traitement des ordures ménagères de Libreville semble trouver une issue. Le Premier ministre a tranché en faveur de la mairie de la capitale gabonaise.
Confrontés à l’explosion des volumes d’ordures à collecter et à traiter, les capitales africaines et leurs partenaires privés locaux et internationaux peinent à construire une filière intégrée et efficace. Un sujet crucial pour la santé en milieu urbain.
Le chef du gouvernement gabonais défend les réformes menées depuis le début de la convalescence du président Ali Bongo Ondimba, ainsi que l’unité de son équipe, malgré les nombreux bouleversements opérés au sein de l’exécutif. Interview exclusive.
Nouvelle manche dans le bras de fer entre Averda et l’État gabonais. La société de ramassage d’ordures a décidé de stopper la collecte tant que ne sera pas acquitté l’équivalent de deux ans d’arriérés de paiement. La puissance publique, de son côté, audite la dette de la compagnie et estime que cette dernière ne tient pas ses engagements.
La mairie de Libreville devrait notifier prochainement à Clean Africa, une société spécialisée dans le ramassage des ordures ménagères, le non-renouvellement de son contrat. L’État gabonais compte également commander un audit de la dette d’Averda, l’entreprise libanaise sous-traitante.
Constatant l’insalubrité chronique qui sévit à Libreville, Léandre Nzué, le nouveau maire de la capitale gabonaise, a préconisé la résiliation du contrat d’Averda, l’entreprise libanaise chargée de la collecte des déchets.