Trois ans après avoir intégré le géant français des assurances, Meryem Chami, jusque-là directrice générale des filiales Maroc et Cima, succède à l’Égyptien Hassan El-Shabrawishi.
Instaurer une culture du partage des données n’est plus une option mais une nécessité pour les assureurs traditionnels, selon l’associé du cabinet de conseil EY.
Parmi les dix plus importants tours de table réalisés en 2022 par les jeunes pousses du continent, sept ont atteint ou dépassé les 100 millions de dollars. Une première.
En moins de deux ans, l’entité africaine du géant mondial a su mettre au point une stratégie visant à surfer sur la manne que représentent les investissements asiatiques dans les infrastructures du continent, sa connaissance du marché chinois et la réorganisation de ses activités internationales.
L’emblématique figure des assurances panafricaines (et désormais aussi des banques) dispose d’un vaste réseau qu’il s’est constitué au fil de son parcours.
En Afrique, d’Abidjan à Douala, une poignée d’irréductibles assureurs locaux résiste à l’assaut des poids lourds panafricains et internationaux, dans une période propice aux fusions-acquisitions.
De l’Égypte à la direction africaine du groupe d’assurance, en passant par les arcanes de la direction générale, le quadragénaire mène Axa dans sa transformation sur le continent, portée par de nouveaux modèles.
Durement touchés par les effets de la crise sanitaire, le marché et les acteurs de l’assurance ont ouvert de nouvelles pistes de réflexion en matière de garanties sur les marchés non-vie.
Le poids lourd mondial des assurances resserre ses équipes à la direction centrale, engendrant une redistribution des cartes en cascade. Décryptage en trois points des conséquences pour l’Afrique.
Segment jusque-là négligé sur le continent, faute de clientèle et de rentabilité, l’assurance santé est depuis peu intégrée dans les stratégies de croissance des compagnies. Des leaders historiques aux nouveaux acteurs numériques du marché.
La crise sanitaire a conforté la stratégie d’Axa sur le continent, dans la santé en particulier, assure le dirigeant du géant mondial, qui n’exclut par des partenariats avec des acteurs africains.
L’agence de notation spécialisée dans l’assurance AM Best a confirmé la note « A » d’Africa Re, avec une perspective stable. Une nouvelle qui atteste de la bonne santé du premierréassureur africain.
Le pôle « international et nouveaux marchés » est piloté par Benoît Claveranne (Sciences Po, ENA, ENS), passé par Bercy et le FMI. Mais le manager français est secondé par plusieurs dirigeants issus du continent.
Après une période d’hésitation sur son avenir continental, le géant mondial se montre plus ambitieux et se lance à l’assaut de nouveaux segments d’activité. Mais la concurrence s’est renforcée et la bataille s’annonce rude.
À 39 ans, ce Marocain est désigné directeur général de la zone Maroc, Tunisie et Afrique de l’Ouest. Ingénieur diplômé de Télécom SudParis, il est également actuaire et titulaire d’un master de Sciences-Po. Passé par Capgemini Consulting, Oliver Wyman et Groupama, il a rejoint Axa Partners en 2016.
Le numéro deux mondial des assurances, AXA réévalue son portefeuille. S’il compte conserver ses filiales nigériane, marocaine et égyptienne, le sort des autres implantations fait toujours débat.
Dans un rapport publié mercredi 29 mars et coécrit notamment avec la Ligue des droits de l’homme et le syndicat CGT, la Fédération internationale des droits de l’Homme (FIDH) accuse des banques et assureurs français de contribuer financièrement au « maintien et au développement » des colonies israéliennes. La France considère comme illégales toutes les colonies israéliennes en Cisjordanie occupée.
Vous souhaitez souscrire une assurance ? Rendez-vous à la banque, dans une station-service ou sur un site d’e-commerce. Pour conquérir une Afrique francophone encore peu couverte, les géants du secteur vont chercher leurs futurs clients là où ils se trouvent.
Axa Africa Speciality Risks, la co-entreprise des deux assureurs Axa et Chaucer spécialisée dans les sinistres et dommages liés au terrorisme, à l’instabilité politique et au mouvement populaire, a annoncé son lancement dans la zone de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), lundi à Abidjan.
Le géant français des assurances, qui s’est récemment implanté au Nigeria et en Égypte, souhaite étendre son dispositif africain. Son patron régional place ses espoirs dans une classe moyenne encore peu couverte.
Le groupe français d’assurances et le leader du commerce en ligne africain ont démarré le lundi 30 mai la distribution de produits d’assurance pour téléphones mobiles. Un premier pas dans la mise en oeuvre d’un partenariat conclu début 2016.
Le géant français de l’assurance dispose désormais de 46 % de MicroEnsure, une structure britannique spécialisée dans la micro-assurance, qui compte 20 millions de clients dans 17 pays en Asie et en Afrique.
Le groupe français a également signé un partenariat exclusif de 10 ans dans la bancassurance avec Commercial International Bank. Détails de l’opération.
Jusque-là secrétaire général de l’assureur français au Maroc, après avoir été directeur général adjoint de sa filiale algérienne, ce Marocain prend la direction des opérations stratégiques du groupe pour l’Afrique subsaharienne.
L’assureur français Axa a annoncé un accord en vue de prendre une participation de 7,15 % au capital du réassureur panafricain Africa Re pour un montant d’environ 53 millions d’euros.